Une pression réglementaire qui s’intensifie contre le thermique
Des obligations qui transforment le paysage et des échéances à anticiper pour rester conforme
En 2025, impossible pour un gestionnaire de flotte d’ignorer l’escalade réglementaire menée contre les motorisations thermiques.
La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) s’impose déjà : les entreprises et administrations dotées de plus de 100 véhicules doivent assurer que 40 % des renouvellements concernent des modèles à faibles émissions depuis l’année dernière, avec une cible qui grimpe à 70 % d’ici 2030.
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Ce n’est pas qu’une formalité : chaque année, le niveau de verdissement doit être reporté via une plateforme nationale et tout manquement peut entraîner de lourdes taxes incitatives, soit 2 000 € par véhicule manquant à l’objectif en 2025, jusqu’à 5 000 € en 2027.
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Mais la pression ne s’arrête pas là. Depuis le 1er janvier 2024, la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) impose aux grandes entreprises d’effectuer un reporting extra-financier rigoureux sur leur impact environnemental, social et de gouvernance. En effet, les gestionnaires de flotte doivent ainsi fournir des données chiffrées sur les émissions de leurs véhicules (scopes 1 et 2, voire 3), détailler leur stratégie de transition énergétique, et démontrer comment ils optimisent la proportion de véhicules électriques pour réduire leur empreinte carbone.
💡Le saviez-vous ? 78 % des acheteurs professionnels privilégient désormais des fournisseurs engagés dans la décarbonation de leur chaîne logistique (source : Kantar, 2024.
Enfin, l’échéance symbolique de la fin des ventes de voitures thermiques neuves à l’horizon 2035, actée par l’Union européenne, façonne déjà le marché et la stratégie de renouvellement parc. Certains pays comme la Norvège interdisent même les véhicules thermiques neufs dès 2025, annonçant une disparition très progressive mais inéluctable de ces motorisations sur tout le continent européen. De plus, il est important de souligner que le secteur des transports est responsable de 29 % des émissions de CO₂ en France au global et de 40 000 décès prématurés dus à la pollution atmosphérique.
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Des attentes croissantes en matière de RSE et d’image de marque
Aujourd’hui, intégrer la RSE à la gestion d’une flotte n’est plus un argument marketing, c’est une nécessité pour toutes les ETI et grandes entreprises. Ce virage impacte fortement l’image de marque : 77 % des consommateurs déclarent accorder plus de confiance aux entreprises engagées dans des actions concrètes en faveur de la transition écologique. Dans le secteur automobile, ce levier est majeur : les flottes représentent encore 20 % des émissions totales de CO₂ en France. Ainsi, toute initiative de verdissement a donc un impact direct sur l’empreinte environnementale… et sur la réputation de l’entreprise.
De ce fait, la communication autour des objectifs RSE devient centrale : de plus en plus d’appels d’offres publics ou privés intègrent des critères de mobilité propre, tandis que la publication d’un rapport de durabilité s’étend désormais aux PME sous l’impulsion de la directive CSRD.
Le match électrique vs thermique : comparatif stratégique pour les flottes
Coûts d’acquisition et de possession : une vérité à plusieurs niveaux
L’électrique : un investissement à rentabilité progressive mais assurée
Choisir entre véhicules thermiques et électriques en 2025 est avant tout une question de chiffres et d’anticipation stratégique.
En effet, il serait trop simple de s’arrêter au coût d’acquisition : si l’électrique présente encore un prix d’achat environ 15 à 20 % supérieur en moyenne à son équivalent thermique, ces écarts sont immédiatement atténués par la fiscalité avantageuse en faveur de l’électrique (exonérations de TVS, avantages en nature, certificats d’économies d’énergie, amortissement non déductible…).
Pour vous donner un exemple concret, une Peugeot e-208 coûte 35 000 € contre 25 000 € pour une version essence.
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Pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter notre livre blanc sur la fiscalité des voitures électriques.
Mais le véritable enjeu se joue sur le TCO. Là, l’électricité creuse l’écart.
Dans un premier temps, les coûts d’entretien d’un VE sont 30 à 50 % moindres , et ces chiffres s’exprime par une absence :
- de vidange,
- de filtres à particules
- et d’embrayage (usure des freins divisée par deux).
Côté recharge, il est également important de souligner qu’un kWh coûte en moyenne 2 à 3 fois moins cher que l’équivalent en carburant, permettant aux flottes de réduire jusqu’à 60% leurs charges énergétiques. En effet, le poste “énergie” ne représente que 11% du TCO d’un véhicule électrique, contre 47 % pour le thermique.
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Finalement, le passage à l’électrique révèle sa pleine rentabilité au bout de 3 à 5 ans pour la plupart des flottes, selon le kilométrage annuel et la politique de recharge. Plus la flotte est importante, plus les économies se cumulent et font pencher la balance : il n’est donc pas exagéré d’affirmer que l’électrique, malgré un coût d’accès initial plus élevé, devient un levier stratégique de performance opérationnelle et budgétaire dès lors qu’on adopte une vision moyen-long terme.
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💡Le saviez-vous ? Si les premières générations de voitures électriques souffraient d’une forte décote, la demande croissante en véhicules électriques et les progrès des batteries améliorent progressivement la valeur résiduelle, limitant le risque financier sur le long terme.
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Fiscalité désavantageuse pour le thermique : un virage budgétaire incontournable
Naturellement, la fiscalité pèse aujourd’hui lourdement sur le choix entre thermique et électrique. Ce levier, intégré aux politiques publiques de transition écologique, transforme l’équation économique en profondeur.
Effectivement, la fiscalité des véhicules thermiques s’est durcie ces dernières années, en particulier pour les modèles les plus polluants. Les gestionnaires de flottes font face à plusieurs contraintes :
- Taxes sur l’affectation des véhicules à des fins économiques (ex-TVS) : Les véhicules thermiques sont soumis à deux volets de la TVS, l’un indexé sur les émissions de CO₂, l’autre sur les polluants atmosphériques. Selon le type et la date d’immatriculation, cette taxe peut atteindre plusieurs milliers d’euros par véhicule et par an, grévant rapidement le budget d’exploitation d’une flotte classique.
- Nouvelle taxe incitative sur la transition verte (en vigueur depuis 2024/2025) : Comme expliqué précédemment, toute entreprise de plus de 100 véhicules légers doit désormais intégrer un quota de véhicules à faibles émissions pour éviter une sur-taxation. Pour les flottes qui ne respectent pas le seuil (20% en 2024, avec palier progressif jusqu’à 70% dans les prochaines années), une pénalité s’applique, calculée à partir du nombre de véhicules manquants et du taux de renouvellement.
- Plafond d’amortissement fiscal très bas : Pour un modèle thermique, seules les premières tranches d’investissement sont déductibles (plafond à 9 900 € pour les modèles les plus polluants), limitant la capacité de l’entreprise à optimiser son résultat imposable et ses flux de trésorerie.
- Malus écologique : Cette taxe est devenu redoutable pour les véhicules thermiques, ciblant lourdement ceux à fortes émissions de CO₂ : en 2025, le seuil de déclenchement s’est abaissé à 113g de CO₂/km et le plafond maximal est passé de 60 000 € à 70 000 € pour les émissions dépassant 193 g/km, soit une augmentation de 16,7% comparé à 2024.
- Malus au poids : Le fonctionnement est simple : plus un véhicule est lourd, plus il est taxé, selon une grille tarifaire qui débute à 1 600 kg et augmente progressivement. Les voitures électriques en sont totalement exonérées en 2025, mais seront concernées à compter du 1ᵉʳ juillet 2026, avec un abattement de 600 kg.
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Autonomie, recharge et gestion opérationnelle : les freins d’hier sont les solutions d’aujourd’hui
L’autonomie des voitures électriques n’est plus un sujet pour les usages professionnels
Il y a encore quelques années, l’autonomie des véhicules électriques faisait office de principal frein à leur intégration dans les flottes professionnelles. Aujourd’hui, le paysage a radicalement changé : pour plus de 90% des usages courants, comme expliqué en préambule, la question de l’autonomie est désormais un faux problème et appartient uniquement aux freins .
💡Le saviez-vous ? Selon une récente enquête Enedis, les véhicules électriques en flotte parcourent en moyenne 69 km par jour.
En effet, la grande majorité des trajets professionnels en entreprise ne dépasse pas 100 km par jour, qu’il s’agisse de tournées de livraison, de visites client ou de déplacement inter-sites. Or, les modèles contemporains de véhicules électriques affichent une autonomie réelle comprise entre 300 km et 600 km selon le segment et l’usage. Cela couvre largement les besoins quotidiens, y compris pour les entreprises ayant une activité soutenue.
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Voici quelques exemples très concrets :
- La Tesla Model Y Grande Autonomie, très présente dans les flottes, propose jusqu’à 622 km d’autonomie WLTP, rendant plausible une semaine de déplacements urbains sans recharge.
- Les utilitaires électriques, comme la Fiat E-Ducato, offrent quant à eux 383 km en cycle WLTP, de quoi assurer plusieurs tournées de livraison sans contrainte.
- De nombreux autres modèles, tels que la Citroën ë-C3, la Renault 5 E-Tech, ou encore la Hyundai Kona, affichent une capacité très largement supérieure à la moyenne des besoins professionnels (120km/jour au maximum pour 90% des entreprises interrogées).
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La recharge, un enjeu logistique bien maîtrisé
En juin 2025, la France comptait près de 170 000 points de recharge publics, auxquels s’ajoutent ceux installés dans les entreprises et les domiciles des collaborateurs : la recharge n’est donc plus un frein d’accès, mais un atout de pilotage flexible et résilient. La loi LOM renforce ce mouvement en imposant l’équipement progressif des parkings d’entreprise et en accompagnant financièrement les installations de bornes dans certaines typologies d’entreprise via le programme Advenir.
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Ainsi, le développement des infrastructures et des bornes de recharge en entreprise est nécessaire pour sécuriser et optimiser l’usage de la flotte électrique.
À noter qu’il est possible sur certaines bornes de recharge disponibles chez Beev d’assurer le suivi en temps réel de l’état de charge de chacun des véhicules ou encore d’organiser une rotation fluide du parc grâce à des logiciels spécialisés, notamment par le biais du Fleet Manager Beev.
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Pour compléter ces dires, l’anticipation et l’optimisation sont la clé d’une flotte électrique performante :
- un bon dimensionnement des bornes selon la nature des trajets
- charge rapide DC pour les usages intensifs
- une borne professionnelle délivrant 22 kW recharge 80% de la batterie d’une berline électrique en moins de 2h
- charge lente AC sur parking pour véhicules stationnés en journée ou la nuit
- charge rapide DC pour les usages intensifs
- la programmation automatique pendant les heures creuses
- pour réduire la facture
- ou encore l’équilibrage dynamique des puissances
- pour éviter toute surtension sur le site de l’entreprise
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A contrario, il vous est possible d’installer des bornes de recharge chez vos collaborateurs pour qu’ils puissent recharger directement leur véhicule à domicile grâce à des bornes murales performantes et connectées, dont la consommation est remontée à l’entreprise pour simplifier la gestion des indemnités kilométriques et la conformité comptable.
Comment réussir sa transition vers l’électrique ? Les bonnes pratiques à adopter
Étapes clés pour une stratégie de verdissement réussie
Adopter une flotte électrique performante ne s’improvise pas : chaque étape compte pour garantir la réussite du verdissement. Ainsi, nous vous présentons ci-dessous les indispensables pour un gestionnaire de flotte B2B.
Audit de flotte, analyse TCO, plan de transition
Dans un premier temps, l’audit de flotte constitue le socle de toute transition. Il doit porter sur :
- La cartographie précise du parc (nombre de véhicules, motorisations, âges, usages, kilométrages, émissions réelles, coûts directs et cachés).
- L’identification des véhicules à remplacer en priorité (fortes émissions, ancienneté, fréquence d’entretien élevée).
- L’analyse des habitudes de déplacement : distance moyenne journalière, pics d’activité, besoins en autonomie, possibilités de mutualisation ou d’autopartage.
- Les retours d’expérience des conducteurs et la prise en compte de la dimension RH.
Un audit 360° bien mené se traduit par un diagnostic clair des forces, faiblesses et axes d’optimisation. En d’autres termes, il sert de base pour les scénarios de transition, la définition d’objectifs chiffrés et le choix des véhicules adaptés.
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Dans un second temps, comme énoncé à maintes reprises dans cet article, le TCO est le meilleur allié du fleet manager pour objectiver la rentabilité d’une transition électrique, car il intègre :
- Le prix d’achat ou de location, amorti sur la durée d’utilisation.
- Les coûts d’usage :
- taxes,
- fiscalité,
- énergie,
- entretien,
- assurance,
- aides publiques.
- Les coûts cachés :
- bornes de recharge,
- gestion administrative,
- frais de stationnement,
- temps d’immobilisation,
- La valeur résiduelle en fin de contrat.
Pour finir, une fois l’audit et l’analyse TCO réalisés, il s’agit de :
- Définir des objectifs progressifs (quotas de “végétalisation”, délais réalistes, mix énergétique pertinent).
- Mobiliser des partenaires : fournisseurs, acteurs de la recharge, sociétés de conseil spécialisées.
- Planifier l’installation des infrastructures de recharge : le dimensionnement doit correspondre aux usages réels, à la disponibilité des véhicules et à la politique de rotation ; intégrer par exemple un objectif de 1 borne pour 3 à 4 véhicules, ajustable selon les rythmes d’exploitation.
- Organiser la formation des équipes à l’écoconduite, la planification des missions et la sensibilisation à la gestion énergétique.
- Assurer un suivi régulier : reporting automatisé, analyse des KPIs (taux d’utilisation, disponibilité, coût au km, taux de recharge sur site/domicile/réseau public) pour ajuster en continu la stratégie et maximiser la rentabilité du verdissement.
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Sensibilisation interne et accompagnement au changement
→ Impliquer les collaborateurs en amont
Le premier facteur clé de succès consiste à communiquer de manière transparente sur les ambitions et les bénéfices attendus du passage à l’électrique. Il est essentiel de présenter cette évolution non seulement comme un investissement durable pour l’entreprise, mais aussi comme un moyen concret de réduire l’empreinte environnementale collective, tout en modernisant les conditions de travail.
L’accent doit être mis sur la pédagogie :
- lever les idées reçues,
- expliquer les choix réalisés et leurs impacts,
- et insister sur les avantages individuels et collectifs.
Selon les retours des entreprises engagées dans l’électrification, l’adhésion des collaborateurs permet d’obtenir de bien meilleurs résultats sur le plan opérationnel et financier.
→ Former et accompagner au quotidien
La formation des conducteurs demeure un pilier incontournable d’une mutation réussie. Au-delà de la simple prise en main des nouveaux véhicules, proposer des modules sur l’éco-conduite et la gestion intelligente des recharges permet de :
- de limiter l’usure du matériel,
- réduire la consommation d’énergie,
- et de rassurer les équipes face aux nouvelles technologies.
À titre d’exemple, des entreprises engagées constatent jusqu’à 15 % d’économie sur les coûts de recharge grâce à une formation adaptée à l’éco-conduite électrique. Mieux formés, les salariés réduisent également le risque d’accidents et rassurent les services RH sur la gestion globale de la flotte.
→ Communiquer et valoriser les réussites
L’accompagnement au changement prend tout son sens lorsque le gestionnaire anime régulièrement la démarche :
- bilans intermédiaires,
- campagnes d’information,
- partages de retours d’expérience,
- newsletters sur les bonnes pratiques,
- et valorisation des progrès accomplis par les équipes.
En effet, mettre en avant les résultats chiffrés (réduction des émissions CO₂, baisse des dépenses énergétiques, amélioration du taux de disponibilité de la flotte) est un levier de motivation puissant et contribue à instaurer une culture de la mobilité électrique au sein de l’entreprise.
Enfin, il est important d’associer toutes les parties prenantes internes : direction, gestionnaires de site, RH, voire représentants du personnel, afin d’adapter en permanence les outils et les messages de la démarche.
→ Favoriser l’écoute et le dialogue
Naturellement, l’accompagnement ne doit pas être unilatéral, mais participatif. Prendre en compte les retours et les freins exprimés par les utilisateurs finaux, adapter les dispositifs, organiser des ateliers pratiques ou des questions-réponses, témoignent d’une gestion humaine du déploiement.
💡Le saviez-vous ? Selon l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise, 74 % des gestionnaires ayant misé sur l’écoute active lors de la transition affichent une satisfaction accrue des équipes sur la durée.
L’importance de s’entourer d’experts en mobilité électrique comme Beev
Beev est aujourd’hui reconnu comme l’un des acteurs les plus complets et transparents du secteur : 100 % indépendant et tourné vers l’accompagnement personnalisé, nous proposons aux gestionnaires de flotte une combinaison unique d’outils et de conseils d’experts pour fiabiliser toutes les étapes du verdissement, de la sélection des véhicules à l’optimisation financière.
Le passage du thermique à l’électrique peut paraître complexe : diversité des modèles, enjeux de recharge, évolutions réglementaires, fiscalité, planification logistique… Les experts Beev s’engagent à vos côtés, gratuitement et sans parti-pris, pour transformer ce parcours en un projet simple et sécurisé. En parallèle, Beev vous mets plusieurs outils et ressources à disposition.
Comparateur de véhicules électriques
Grâce à son comparateur de référence, Beev vous permet de comparer plus de 40 marques sur des critères objectifs :
- TCO,
- puissance,
- équipements,
- autonomie réelle,
- coût d’acquisition,
- fiscalité applicable,
- mais aussi aides et bonus disponibles.
Il devient facile d’identifier le véhicule réellement adapté à vos besoins métier, qu’il s’agisse d’un utilitaire électrique, d’une citadine électrique ou d’un grand volume de véhicules pour une flotte nationale. Les prix sont déjà négociés grâce au réseau de partenaires Beev, garantissant une compétitivité forte pour l’entreprise.
Pour les particuliers et les entreprises
Configurateur de véhicules Tesla
Pour aller plus loin dans la personnalisation, Beev propose un configurateur dédié Tesla. Spécialement pensé pour les gestionnaires exigeants, il permet de moduler chaque caractéristique (motorisation, autonomie, couleur, options connectées, financement) et d’obtenir immédiatement les conditions LLD ou LOA adaptées à une flotte professionnelle.
Ce service inclut l’accompagnement par un expert dédié.
Beev Fleet Manager
Véritable cockpit numérique, le Fleet Manager de Beev centralise la gestion de la flotte :
- optimisation des coûts,
- suivi en temps réel des véhicules,
- supervision des bornes de recharge,
- gestion collaborative des utilisateurs,
- analyse de la consommation électrique,
- et planification des opérations de maintenance.
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Son tableau de bord intuitif donne une visibilité complète sur le TCO et l’impact environnemental, et accompagne la mise en œuvre de vos objectifs RSE tout au long du cycle de vie de la flotte.
En d’autres termes, le Fleet Manager vise à remplacer les outils Excel et rationaliser la gestion multi-sites pour des PME comme pour de grands groupes.

Calculez votre TCO
Beev met également à disposition un simulateur avancé permettant de calculer le coût total de possession de chaque solution :
- de la revente,
- de l’entretien,
- de la fiscalité,
- des coûts d’énergie,
- de l’installation de bornes,
- prise en compte du coût d’achat ou de leasing professionnel…
Ce calculateur donne une vision claire et chiffrée du gain (ou du surcoût) à attendre du passage à l’électrique par rapport au thermique, outil de décision majeur pour argumenter en interne.
Au-delà des outils, Beev insiste sur l’accompagnement humain à chaque phase : dispositif de conseil gratuit, audits personnalisés, formation sur mesure, suivi post-livraison et assistance à la mise en place des bornes de recharge.
Conclusion
Vous l’aurez compris, le match entre véhicules électriques et thermiques ne tient plus aujourd’hui : face aux contraintes réglementaires croissantes et à une fiscalité de plus en plus défavorable aux motorisations thermiques, l’électrique s’affirme comme la réponse stratégique incontournable pour les gestionnaires de flotte.
Mais la transition électrique ne se limite pas à choisir une motorisation : elle exige une stratégie adaptée, une infrastructure de recharge fiable, un pilotage opérationnel optimal… et des outils solides pour anticiper chaque étape.
Ainsi, s’entourer d’experts comme Beev, c’est transformer la transition électrique en opportunité concrète pour votre entreprise : moins de risques, une meilleure visibilité financière et opérationnelle, et la garantie de prendre de l’avance sur vos engagements RSE, tout en simplifiant les opérations au quotidien.
Vous souhaitez passer à l’électrique ?
Beev propose des offres de véhicules 100% électriques multi-marques au meilleur prix ainsi que des solutions de recharge.