Obtenir une voiture électrique à Grenoble

En 2017, Grenoble-Alpes Métropole souhaite encourager l’utilisation de véhicules à faibles émissions dans le but de réduire la pollution et d’améliorer la qualité de l’air. Une préfiguration ZFE est mise en place le 1er janvier 2017 pour les véhicules de transport de marchandises. Grenoble est devenue une zone à faibles émissions (ZFE) car ce dispositif a été étendu au parc automobile. Le but pour Grenoble-Alpes Métropole est de diminuer de 75% les émissions d’oxydes d’azote en 2026 par rapport à 2017. Comme toutes les grandes métropoles françaises, Grenoble est une ville qui souhaite fortement développer l’utilisation de la voiture électrique. La ville de Grenoble est engagée dans la promotion de la mobilité urbaine peu polluante et souhaite d’ailleurs interdire les véhicules Diesel en 2025 et à plus long terme pour les véhicules Essence. En 2025, uniquement les véhicules Essence d’après 2011 auront le droit de circuler. La voiture électrique ne dégageant aucune émission de CO2 et de pollution sonore, est souvent valorisée auprès des métropoles.

Depuis février 2020, la ZFE Grenoble-Alpes Métropole s’est élargie à 27 communes : Bresson, Champagnier, Champ-sur-Drac, Claix, Corenc, Échirolles, Eybens, Fontaine, Gières, Grenoble, Jarrie, La Tronche, Meylan, Montchaboud, Noyarey, Poisat, Pont-de-Claix, Quaix-en-Chartreuse, Saint-Égrève, Saint-Martin-d’Hères ainsi que le Domaine Universitaire, Saint-Martin-le-Vinoux, Sassenage, Seyssinet-Pariset, Seyssins, Varces, Venon, Veurey-Voroise.

Grenoble-Alpes Métropole propose sur l’espace public plusieurs bornes de recharge électrique, en plus de celles qui existent déjà dans les parkings publics 25 stations et d’autres le seront dans l’avenir. 

Dès février 2020, alors que le rétrofit n’était pas encore légalisé en France, la métropole de Grenoble a été la première collectivité à proposer d’accompagner financièrement cette opération.