Malus écologique : pourquoi l’électrique devient incontournable

Personne calculant le coût d’un véhicule

L’année 2026 marque un tournant dans la fiscalité automobile française. Avec l’entrée en vigueur du malus écologique rétroactif applicable aux véhicules d’occasion lors de leur revente, une tendance claire se dessine : la taxation des véhicules thermiques ne cessera de s’alourdir. Le seuil de déclenchement de la taxe CO2 a été abaissé à 113 g/km en 2025, tandis que le montant maximal atteint désormais 70 000 €. Cette évolution, loin d’être anodine, représente un signal fort pour toutes les entreprises qui gèrent une flotte automobile.

 

Pour les TPE, les PME, les professions libérales mais aussi les grands comptes, cette spirale fiscale pose une question de rentabilité immédiate. Chaque renouvellement de véhicule thermique génère désormais des coûts additionnels significatifs. À l’inverse, les véhicules électriques bénéficient d’une stabilité fiscale et d’avantages économiques tangibles.

 

Dans cet article, nous analysons l’impact concret du malus auto en 2025 et des évolutions prévues pour 2026 sur votre budget. Ainsi, nous pourrons déterminer en quoi l’électrification de votre flotte devient une nécessité économique.

Table des matières

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Par mois, sans apport pour les professionnels

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Cupra Tavascan VZ

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46 990 €

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Autonomie (WLTP) : 517 km

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VinFast VF 8 Plus Extended Range

Prix catalogue

51 490 €

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Par mois, sans apport pour les professionnels

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Mini Countryman E

Prix catalogue

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Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 462 km

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Charge rapide (de 20 à 80%) : 29 min

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Fiat E-Ducato 79 kWh

Prix catalogue

63 240 €

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LLD à partir de

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Charge rapide (de 20 à 80%) : 78 min

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Fiat E-Scudo 50 kWh

Prix catalogue

0 €

(hors bonus)

LLD à partir de

645 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 220 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

mercedes esprinter fourgon gris

Mercedes eSprinter Fourgon 35 kWh

Prix catalogue

75 972 €

(hors bonus)

LLD à partir de

655 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 153 km

Accélération (0 à 100 km/h): 11 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

citroen e berlingo van 3/4

Citroën ë-Berlingo Van 50 kWh

Prix catalogue

40 440 €

(hors bonus)

LLD à partir de

599 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 275 km

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Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

Hyundai Inster Standard Range

Prix catalogue

25 000 €

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LLD à partir de

298 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 300 km

Accélération (0 à 100 km/h): 11.7 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 29 min

Opel Frontera 44 kWh

Prix catalogue

29 000 €

(hors bonus)

LLD à partir de

491 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 305 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

Alpine A290 Electric 180 hp

Prix catalogue

38 700 €

(hors bonus)

LLD à partir de

630 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 380 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.4 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 33 min

Fiat Grande Panda 44 kWh

Prix catalogue

24 900 €

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LLD à partir de

430 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 320 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

BMW i5 Touring eDrive40

Prix catalogue

0 €

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LLD à partir de

890 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 560 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

Tesla Model 3 Grande Autonomie Propulsion

Prix catalogue

44 990 €

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LLD à partir de

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Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 702 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 20 min

Mercedes EQE 300

Prix catalogue

69 900 €

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LLD à partir de

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Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 647 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 33 min

BMW i4 eDrive35

Prix catalogue

57 550 €

(hors bonus)

LLD à partir de

607 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 483 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

Renault 4 E-Tech 40kWh 120hp

Prix catalogue

29 990 €

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Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 322 km

Accélération (0 à 100 km/h): 9.2 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

Citroën ë-C4 54 kWh

Prix catalogue

35 800 €

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LLD à partir de

0 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 415 km

Accélération (0 à 100 km/h): 10 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 29 min

Volvo EX30 Single Motor ER

Prix catalogue

43 300 €

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LLD à partir de

436 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 480 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 28 min

Volkswagen iD.3 Pro S

Prix catalogue

42 990 €

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Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 549 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.9 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 30 min

Qu'est-ce que le malus écologique et comment a-t-il évolué ?

Le principe du malus auto en 2025

Le malus écologique, aussi appelé taxe CO2 ou malus CO2, est une taxe perçue lors de l’immatriculation d’un véhicule neuf en France. Son principe est simple : plus un véhicule émet de dioxyde de carbone, plus son propriétaire paie cher au moment de sa mise en circulation. Cette taxe sur les véhicules vise à décourager l’achat de modèles polluants et à encourager la transition vers des motorisations plus propres.

 

En 2025, le seuil de déclenchement du malus est fixé à 113 g/km de CO2, contre 118 g/km l’année précédente. Concrètement, tout véhicule émettant plus de 113 grammes de CO2 par kilomètre est soumis à cette taxe dès son immatriculation. Le montant varie ensuite de manière exponentielle : il démarre à 50€ pour atteindre un plafond maximal de 70 000 € dès 193 g de CO2/km.

 

À cette première taxe s’ajoute, depuis 2022, le malus au poids. En 2025, ce barème s’applique aux véhicules pesant plus de 1 600 kg, avec des tarifs allant de 10 euros par kilogramme excédentaire jusqu’à 30 euros pour les fractions de masse à partir de 2 100 kg. Pour les entreprises qui privilégient les SUV, les utilitaires ou les berlines familiales, ces deux malus cumulés peuvent rapidement représenter plusieurs milliers d’euros par véhicule.
Si l’on prend l’exemple d’une voiture neuve immatriculée le 3 mars 2025 avec une masse de 1 950 kg, le montant de la taxe s’élève à 4 520 €.

Les évolutions du barème malus en 2025 et ses perspectives en 2026

Le durcissement du barème malus en 2025 s’inscrit dans une trajectoire législative prévisible et assumée par les pouvoirs publics. Depuis 2008, où le seuil était fixé à 161 g/km de CO2, nous sommes passés à 113 g/km en 2025, soit une baisse de près de 50 grammes en moins de vingt ans. Parallèlement, le montant maximal a explosé : de 10 500 € en 2018, il a bondi à 70 000 € en 2025.


Les perspectives pour 2026 confirment cette accélération. Le seuil de déclenchement devrait descendre à 108 g/km de CO2 dès 2026, élargissant encore le nombre de modèles concernés. Plus significatif encore pour les flottes d’entreprise : le malus au poids s’appliquera dès 1 500 kg à partir de 2026, contre 1 600 kg actuellement. Cette baisse de 100 kg du seuil pourra toucher de plein fouet les véhicules professionnels puisque 66 % des véhicules neufs vendus en 2025 dépassent déjà 1 500 kg.


Pour 2027 et au-delà, la tendance ne s’inversera pas. Les objectifs climatiques européens imposent une réduction continue des émissions et un abaissement progressif du barème CO2 en 2025 de 5 grammes par an a déjà été annoncé. Selon l’ONG Transport et Environnement : « C’est un signal important envoyé au marché pour qu’il se tourne vers des véhicules moins émissifs ou 100 % électriques ». Pour les entreprises, il s’agit donc d’anticiper une taxation toujours plus lourde sur les motorisations essence et diesel.

Tableau comparatif du malus écologique - Années 2025, 2026 et 2027

ANNÉE SEUIL CO₂ MIN. TARIF SEUIL CO₂ MAX. TARIF
2025 113 50€ >192 70 000€
2026 106 50€ >189 80 000€
2027 99 50€ >185 90 000€

En 2026, quelles sont les nouvelles taxes qui vont impacter votre flotte ?

Le malus rétroactif sur les véhicules d'occasion : un signal politique majeur

L’actualité de la carte grise en 2026 qui fait le plus de bruit concerne l’extension du malus écologique aux véhicules d’occasion lors de leur changement de propriétaire.

 

À partir de janvier 2026, tout véhicule d’occasion immatriculé après janvier 2015 et émettant plus de 131 g/km de CO2 ou pesant plus de 1 799 kg, se verra appliquer un malus lors de sa revente. Bien que cette mesure cible principalement le marché des particuliers et ne concerne pas directement l’acquisition de véhicules neufs pour une flotte professionnelle, elle révèle une tendance importante : la fiscalité verte ne fait plus de distinction entre le neuf et l’occasion. Pour les gestionnaires de flottes, ce signal politique doit être pris au sérieux.

 

Si l’État n’hésite plus à taxer rétroactivement des véhicules déjà en circulation, cela confirme que les taxes sur les véhicules thermiques constituent désormais un levier fiscal pérenne et évolutif. Chaque véhicule diesel ou essence que inscrit aujourd’hui dans le parc automobile d’une entreprise risque de subir de nouvelles taxations demain. De fait, la valeur résiduelle des actifs thermiques devient de plus en plus incertaine.

Pourquoi la fiscalité automobile ne fera que se durcir ?

Le durcissement continu du malus écologique n’est pas une conjoncture passagère, mais la conséquence directe d’engagements climatiques sérieux. L’Union européenne s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, un objectif ambitieux concrétisé avec l’adoption de la loi sur le climat en 2021.

Dans ce contexte, le secteur des transports représente un enjeu majeur. Le Haut Conseil pour le climat s’alarme de la stagnation des émissions de gaz à effet de serre des transports dans le monde. Il estime qu’elles doivent diminuer de -4,7 % par an pour atteindre l’objectif de 1,5°C de réchauffement climatique fixé par l’Accord de Paris. À titre d’exemple, cela impliquerait une division par 6 des émissions de gaz à effet de serre en France par rapport à 1990.

Face à l’ambition de cet objectif, les pouvoirs publics disposent de deux leviers principaux : la réglementation et la fiscalité. C’est précisément ce double mouvement qui se dessine.

Sur le plan réglementaire, l’interdiction de vente des véhicules neufs à essence et diesel est actée pour 2035, avec l’objectif que toutes les voitures neuves arrivant sur le marché ne puissent émettre de CO2. Même si des discussions sont en cours concernant les carburants de synthèse ou certains hybrides rechargeables, la trajectoire reste claire : les motorisations thermiques conventionnelles n’ont plus d’avenir dans le paysage automobile européen.

Sur le plan fiscal, le barème des malus et de ses évolutions futures constituent l’outil d’accompagnement de cette transition. Chaque année, les seuils s’abaissent, les montants augmentent et de nouveaux critères apparaissent. Pour une entreprise, cela signifie que chaque année de report de l’électrification représente potentiellement un surcoût fiscal croissant. Investir aujourd’hui dans un véhicule thermique, c’est parier sur une dépréciation accélérée et des taxes qui ne cesseront d’augmenter jusqu’en 2035. La question n’est donc plus de savoir si la fiscalité va se durcir, mais à quel rythme et sous quelles formes. 

Un cumul de malus pour un double effet redoutable

Les véhicules professionnels sont généralement plus lourds et mieux équipés que les citadines, ce qui les expose systématiquement à la double taxe du CO2 et de la masse. Le nouveau barème 2025 pourrait même aboutir à la taxation de 80 % des véhicules immatriculés, contre 40 % en 2023. Pour une entreprise renouvelant 10 véhicules par an dans cette gamme, le surcoût fiscal immédiat représente entre 20 000 et 35 000 € annuels, sans aucune contrepartie en termes d’usage ou de performance. Et ce n’est qu’un début : en 2026, avec l’abaissement du seuil du malus au poids à 1 500 kg, ces mêmes véhicules subiront une taxation encore plus lourde. 


Chez Beev, nous accompagnons nos clients en intégrant ces évolutions réglementaires dans nos analyses de TCO, afin que votre entreprise puisse prendre des décisions d’investissement éclairées et anticiper sereinement sa transition vers l’électrique.

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Pourquoi l'électrique devient un incontournable ?

Les véhicules électriques échappent au malus écologique

Face à l’escalade des taxes sur les véhicules thermiques, la question de l’électrique devient aussi une rationalité économique. En effet, le malus à payer lors de l’acquisition d’un véhicule électrique s’élève à 0€ car leur émission de CO2 est nulle.


Concernant le malus au poids, la situation évolue. Si les véhicules électriques ont longtemps bénéficié d’une exonération totale, le malus masse s’appliquera désormais dès 1 500 kg en 2026, y compris pour certains véhicules électriques. Toutefois, cette taxation reste marginale comparée au cumul malus CO2 et malus poids qui frappe les thermiques. Pour cette raison, elle n’annule en rien les avantages économiques globaux de l’électrique.


Aussi, l’électrique offre une stabilité fiscale que le thermique ne connaîtra plus. Les politiques publiques encouragent massivement cette transition via des aides à l’achat pour certaines catégories et une fiscalité favorable sur la taxe des véhicules de société (TVS). Investir dans l’électrique aujourd’hui, c’est sécuriser votre budget mobilité pour les dix prochaines années.

Le TCO électrique vs thermique : de quelles économies parle-t-on ?

Au-delà du malus évité à l’achat, c’est sur l’ensemble du coût total de possession (TCO) que l’électrique démontre sa supériorité économique pour les flottes professionnelles. Les principales économies réalisées sont les suivantes :

  • L’économie sur les taxes d’immatriculation
    Comme nous l’avons vu, le malus écologique va devenir de plus en plus conséquent pour l’acquisition d’un véhicule thermique contre 0€ pour l’électrique.

 

  • L’économie sur la TVS
    Pour les véhicules électriques, la Taxe sur les Véhicules de Sociétés (TVS) est exonérée.

 

 

  • L’économie de l’entretien
    Une voiture électrique possède moins de pièces qu’une voiture thermique. Selon Avere-France, l’entretien d’un véhicule électrique coûterait 4 fois moins cher que celui d’un véhicule thermique.
Chez Beev, nous réalisons des études de TCO personnalisées pour chaque client, en intégrant vos kilométrages réels, vos usages spécifiques et les évolutions fiscales à venir. Calculez rapidement et simplement le TCO de votre voiture et comparez-le avec son équivalent thermique.

Comment Beev accompagne votre transition vers l'électrique ?

Nous comprenons que la transition vers l’électrique représente un investissement stratégique qui nécessite une analyse approfondie. C’est pourquoi nous proposons un accompagnement sur mesure, adapté aux spécificités de votre entreprise, quelle que soit sa taille.


Pour cela, nous réalisons une analyse complète de votre flotte actuelle afin de réaliser un calcul de TCO comparatif détaillé qui intègre tous les paramètres financiers pertinents. Notre approche prend en compte les évolutions réglementaires futures afin que vous disposiez d’une projection réaliste sur les années à venir afin de sécuriser votre décision d’investissement.


Notre connaissance approfondie du marché nous permet de vous orienter vers les modèles électriques les plus adaptés à vos besoins professionnels. Nous proposons exclusivement des véhicules neufs et parfaitement accordés aux exigences des flottes d’entreprise. Grâce à notre volume d’achat, nous négocions pour vous les meilleures conditions tarifaires.
Enfin, nous gérons l’ensemble des aspects administratifs de votre transition. Immatriculation des véhicules, optimisation des déclarations fiscales, mise en place des solutions de recharge… Vous bénéficiez d’un interlocuteur unique qui pilote votre projet de bout en bout.


Grâce aux centaines d’entreprises que nous avons déjà accompagnées, nous connaissons les freins et les craintes liés au passage à l’électrique. Notre rôle est de transformer ces appréhensions en certitudes chiffrées afin de démontrer que l’électrique n’est pas un pari mais une solution sérieuse en termes de rentabilité sur le long terme.

Passer à l'électrique : une décision difficilement reportable

Le malus écologique et son durcissement continu ne laissent plus aucun doute : la fiscalité automobile française a pris un virage irréversible vers la pénalisation des motorisations thermiques. De fait, la possession de véhicules essence ou diesel devient un investissement de plus en plus coûteux.

À l’inverse, l’électrique s’impose comme une solution économiquement rationnelle et alignée sur les objectifs climatiques européens. Pour les entreprises, anticiper cette transition préserve la rentabilité et la pérennité de leur flotte automobile.

Image de Judith Boukella
Judith Boukella

Convaincue que la transition vers un monde plus durable n’est plus une option mais une nécessité, je mets ma plume au service des entreprises qui agissent pour un futur plus vert.

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